99% des cadres interrogés déclarent avoir utilisé l’anglais dans leur fonction
Ce n’est plus un secret, la connaissance de l’anglais est un outil non négligeable en milieu professionnel. Si vous aviez encore des doutes sur ce point, voici une enquête réalisée par Cadremploi auprès de plus de 2 000 cadres qui devrait finir de vous convaincre.
Cette enquête montre que l’anglais est LA seconde langue à connaitre pour les professionnels. En effet, plus de 86 % des cadres interrogés déclarent avoir déjà utilisé une langue étrangère dans l’exercice de leur fonction et pour 99 % d’entre eux cette langue était l’anglais. Il est donc primordial d’apprendre l’anglais surtout que, toujours selon cette enquête, plus de la moitié des sondés ne se sentaient pas confortable à l’idée d’avoir une conversation orale en anglais. En revanche, ils sont plus à l’aise à l’écrit vu que 67 % d’entre eux se déclarent capable d’échanger à l’écrit. Mais une simple maitrise de l’écrit est bien souvent insuffisante comme le dit Julia Diallo, responsable pédagogique pour les adultes au British Council, dans un article publié par le journal 20Minute, «Dans les entreprises internationales, les salariés ont tendance à se cacher derrière les emails pour communiquer. Ils font leur maximum pour éviter de parler en anglais. Mais un beau jour, ils doivent accueillir des collègues anglophones ou participer à une vidéoconférence. Et là ils sont au pied du mur.»
Le sondage met également en avant qu’une bonne pratique de l’anglais est indispensable lors d’un entretien d’embauche voir même avant. La moitié des interrogés considèrent leur niveau d’anglais comme un frein à leur embauche ou à leur carrière. Mais même avant cela la maitrise de l’anglais est un problème puisque 63 % des cadres déclarent que le niveau linguistique demandé par une offre d’emploi est un frein à leur candidature. De plus, 67 % ont déjà dû s’exprimer en anglais pendant leur entretien d’embauche mais seulement 21 % des sondés se sentent suffisamment préparés pour cet exercice.
Ca créé des coupures et ce genre de situation peut également être générateur de stress.
Le dernier point important que soulève cette enquête est que 60 % des interrogés considèrent qu’une formation serait un atout pour trouver un travail ou pour évoluer au sein même de leur entreprise. Une mauvaise connaissance de l’anglais peut aussi être un facteur de stress c’est ce que Jean-Christophe Sciberras, président de l’Association nationale des directeurs de ressources humaines française, confiait au Figaro « Les plans de formation en langues sont un levier pour diminuer le stress au travail. Lors des réunions, il suffit qu’une seule personne ne parle pas français, et on est obligé de switcher en anglais. Si deux ou trois personnes comprennent mal l’anglais, elles ne vont pas intervenir, ou n’oseront pas dire qu’elles ne comprennent pas. Ca créé des coupures et ce genre de situation peut également être générateur de stress. »
Pourtant, 62 % des sondés se sentent mal informés en ce qui concerne les possibilités de formation.
Alors, après avoir lu ceci, qu’attendez-vous pour joindre nos cours d’anglais ?
99% of Surveyed Employees Have Used English Within their Function
It’s no secret that a decent grasp of English is critical in the business environment. If you had any doubts, here are the results of a survey involving more than 2,000 employees, conducted by Cadremploi.
The study shows that English is THE second language to learn if you’re a professional. In fact, more than 86% of interviewed workers indicated that they have already used a foreign language within their function; for 99% of them, this language was English.
It is apparent that taking the initiative to learn English is essential, especially considering that more than half of those surveyed claim a lack of comfort at the idea of having a verbal conversation in English. On the other hand, 67% of the participants considered themselves capable to conduct a written exchange in English. Despite this, the ability to simply write in English is often not sufficient, as explained by Julia Diallo, educational manager for adults at the British Council. In an article published by 20Minute, she’s quoted as saying “In international companies, employees have a tendency of hiding behind emails in order to communicate. They avoid having to speak in English at all costs. But eventually, they are put in a position where they need to welcome English speaking colleagues or participate in a videoconference. That’s when they find themselves backed into a corner.“
The survey also proposes that decent English skills are a must during job interviews. Half of the participants consider their English level to be a barrier to their career development. Surprisingly, 63% claim that simply seeing English as a criteria on a job posting has prevented them from applying. Moreover, more than 67% have already needed to speak in English during a job interview, but only 21% of them felt they were prepared enough for the exercise.
That divides people; this sort of situation can be a generator of stress.
A final takeaway from the study was that 60% of those interviewed considered that taking an English language course would significantly help them to find a job or to evolve in their existing companies. A poor knowledge of the English language can be a stress factor, proposes Jean-Christophe Sciberras. During an interview with Figaro he mentions that, “Language training programs are a lever in the reduction of workplace stress. During a meeting, if just one person doesn’t speak French, everybody is obligated to switch to English. If two or three people don’t understand English well, they’re unable to comment throughout the meeting and are embarrassed to admit that they don’t understand. That divides people; this sort of situation can be a generator of stress.”
In spite of this, 62% feel that they don’t have are not fully aware of all the opportunities available to learn English.
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